Trophée Jules Verne (virtuel) # 2
Je vous parlais l'autre jour de la participation de mon Breton Préféré au Trophée Jules Verne (virtuel) et de sa 9ème place au classement général.
Figurez-vous qu'il a fait encore mieux que ça : 4ème !!!!
La preuve :
Ca s'est un peu gâté depuis à cause d'une petite pétole imprévue, mais on continue à croiser les doigts.
Vas-y, mon cœur !
Enigme 298 (résolue)
Enigme 297 (résolue)
Trophée Jules Verne (virtuel)
Mon Breton Préféré participe au Trophée Jules Verne (virtuel) sur Virtual Regatta depuis le 1er novembre dernier.
Pour celles et ceux qui étaient déjà là fin de l'année dernière, il a également participé avec pas mal de succès pour un débutant (26.121ème sur plus de 376.000 participants !) au Vendée Globe (virtuel).
Le Trophée Jules Verne
(en "vrai") consiste à faire le tour du monde en laissant les principaux caps du
sud (Cap de Bonne Espérance, Cap Leeuwin et Cap Horn) à bâbord en un temps minimum. Il s’agit donc quasiment du même
tracé que le Vendée Globe mais parcouru à une vitesse moyenne
nettement plus rapide. Le record de l’épreuve est de 50 jours 16h et 20
min et 4 secondes. Il est détenu par Bruno Peyron.
Je doute que mon Breton Préféré arrive à battre ce record, mais il est quand même bien parti pour faire un temps dont il n'aura pas à rougir.
Ce matin, belle surprise (l'image n'est pas très lisible, désolée ) : il est 9ème !!!!!! (mais la route est encore longue jusqu'à la bouée finale)
Pas mal, hein ?
Pour ça, il faut passer des heures à calculer et recalculer le cap, consulter toutes sortes de cartes météo, ajuster les paramètres en fonction de la vitesse du vent, de l'état de la route et de l'âge du capitaine (oups, je m'égare !), etc.
Voilà pourquoi je n'ai plus accès au PC.
Ce n'est qu'au bureau que je peux m'occuper de mon blog et encore, je n'ai pas que ça à faire non plus. Il faut aussi que je travaille de temps en temps.
Enigme 296 (résolue)
Enigme 295 (résolue)
06.11.1989 - 06.11.2009
Vingt ans déjà que mon petit papa est passé "de l'autre côté du chemin"...
"La mort n’est rien
Je suis simplement passé dans la pièce à côté.
Je suis moi. Tu es toi.
Ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m’a toujours donné.
Parle-moi comme tu l’as toujours fait.
N’emploie pas de ton différent.
Ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ce qui nous faisait vivre ensemble.
Prie. Souris. Pense à moi. Prie pour moi.
Que mon nom soit toujours prononcé à la maison comme
il l’a toujours été.
Sans emphase d’aucune sorte et sans trace d’ombre.
La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié.
Elle reste ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée,
Simplement parce que je suis hors de ta vue ?
Je t’attends. Je ne suis pas loin.
Juste de l’autre côté du chemin.
Tu vois, tout est bien"
(Chanoine Henry Scott-Holland)
... et il me manque toujours autant.